Retirés des corps après une fuite, les explants cardiovasculaires, ces gaines en tissu et ressorts métalliques utilisées pour réparer les artères endommagées, sont envoyés dans une ancienne morgue pour y être analysés. Le professeur Nabil Chakfé, chef du service de chirurgie vasculaire du CHU de Strasbourg, est le premier en Europe à avoir lancé, en 2011, ce programme d’analyse d’explants cardiovasculaires mis en place par le Groupe européen de recherche sur les prothèses appliquées à la chirurgie vasculaire (Geprovas).
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