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L'Amiral est de retour. Le dixième album de Michel Polnareff, Enfin !, sort ce vendredi. Et 28 ans après son dernier album, il a toujours le goût du spectacle. « À 75 ans, qui d'autre peut se permettre un tel look entre chef indien et Ziggy Stardust (...) ? » interroge Le Parisien qui l'a rencontré. Et le chanteur s'est montré plutôt prolixe. Il revient d'abord sur les péripéties de sa tournée d'il y a deux ans et l'annulation de son concert parisien à la salle Pleyel. « Une embolie pulmonaire bilatérale n'est pas un caprice de star. Ce qui m'a beaucoup contrarié (...), c'est que mes fans japonais aient fait le tour du monde pour rien. Comme si mon corps les avait trahis. »
Malgré son rappel – « je ne suis pas un exilé fiscal aux États-Unis » – Michel Polnareff ne semble pas prêt à revenir en France. « Je ne le sens pas », confesse-t-il au quotidien. Mais il ne se désintéresse pas pour autant de ce qui s'y passe et notamment de la fronde des Gilets jaunes. « Je soutiens les Gilets jaunes. Je suis très respectueux de leur cause. Je suis ça avec tristesse et frustration. (...) Leur mouvement est compréhensible. »
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« La disparition de Johnny a été un énorme choc pour moi »
Le chanteur d'« On ira tous au paradis » revient aussi sur la mort de Johnny Hallyday. « La fidélité de son public, c'est d'une beauté ! J'ai toujours été un grand admirateur de Johnny (...). Mais pour être franc, j'ai peu écouté ses disques. On se voyait rarement, mais on était très proches amicalement. Il a été héroïque jusqu'à la fin. (...) La disparition de Johnny a été un énorme choc pour moi, elle m'a mis un coup terrible. »
Mais il pense quand même à l'avenir, expliquant au sujet d'une éventuelle tournée : « Peut-être en 2019. Mais il faut que je trouve mes musiciens et que je refasse du sport. Là, je ne suis pas encore sorti du disque, je suis fatigué, j'ai plus besoin de dormir que de m'entraîner. »
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Heureusement, car il avait déjà eu sa dose en son temps !
L'impôt sur le revenu est progressif. Il ne doit pas etre confiscatoire. L'impot sur le patrimoine est payé lors de la transmission ou de l'aliénation : il ne doit pas être payé 2 fois.
LE SERMENT DU JEU DE PAUME TOUJOURS ACTUEL
LES GILETS JAUNES SONT LES HERAUTS de ce que Tocqueville décrivait en 1853 dans son ouvrage ‘l’Ancien Régime et la Révolution ’le refus definitif de l l’aristocratie nobiliaire et du pouvoir monarchique et la volonté d’instaurer le pouvoir du peuple souverain auquel est substitué aujourd’hui un management financier technocratique instaurant le présidentialisme et fracturant la société
UNE NUIT DU QUATRE AOUT S’IMPOSE L'histoire ne se répète pas elle bégaie. Cette gouvernance est hors sol. Chirac fut élu, alors que lancé dans la bataille électorale sans appui, son instinct politique lui dicta le discours qu'il tint aux français faire disparaitre la fracture sociale Ce sont les responsabilités qui furent les siennes en 1968 alors que la rue bouillonnante était incontrôlée, créant le contrat de confiance qu'il négocia avec la puissante CGT, comme lui, voulant sauver la République du Chaos, qui ramena le calme sans aucune perte humaine grâce à un préfet qui à la manœuvre le permit Ce souvenir lui dicta son programme en phase avec l'attente. Arrivé au pouvoir il lui fut rappelé un autre souvenir qui bridant son action, renvoya aux oubliettes le gaullisme populaire basé sur une large décentralisation, réconciliant les français avec le pouvoir, en Corse elle aurait évité ALERIA la cabale du Senat qui avait contraint De GAULLE à la démission La réforme du système de retraite mal acceptée, il choisit la dissolution qui amena l'opposition au pouvoir qui reprit à son compte cette aspiration en finir avec la fracture sociale Depuis tel Diogène lanterne sourde en main chaque président recherche la confiance mais la démocratie participative ne fait plus recette d'où l'abstention et la montée de l'insoumission qu'exacerbe la communication du pouvoir actuel qui dénonce des adversaires imaginaires alors que c'est la France périphérique qui n'acceptant plus d'être oubliée, retourne aux sources à, l'origine de la Grande Révolution